La réglementation est très favorable en Algérie.
Selon le CREAD (Centre de recherche en économie pour le développement) le cadre réglementaire algérien est très favorable au développement des énergies renouvelables.
La législation algérienne est "favorable" et "avancée" en ce qui concerne le développement des énergies renouvelables, a indiqué M. Abderrahmane Abdou, président du conseil scientifique au sein du CREAD.
"Le cadre réglementaire algérien est très favorable. Ce qui bloque (le développement de ce secteur), toutefois, c'est la technologie", a affirmé M. Abdou.
Ce dernier a en outre souligné que le CREAD vient de signer une convention avec les Allemands pour un partenariat dans le domaine des énergies nouvelles. "Notre intervention, dans le cadre de ce partenariat, consiste à réfléchir sur les alternatives de l'énergie dans le marché algérien et même sur les perspectives pour l'exportation des énergies nouvelles", a-t-il précisé.
Le centre, a-t-il dit, entreprend annuellement une moyenne de trente projets d'une durée de deux ans et dans divers domaines, notamment l'agriculture, les TIC, l'économie internationale et l'emploi.
Le centre prend aussi en charge des prestations que sollicitent des entreprises privées ainsi que des institutions officielles. M. Abdou a fait savoir, dans ce contexte, que le CREAD a signé 15 conventions avec des entreprises et institutions étrangères, européennes principalement.
Il entreprend annuellement une cinquantaine de projets et prestations confondus, gérés par un corps de chercheurs permanents et de chercheurs associés, économistes principalement.
Le même responsable a rappelé que le centre de recherche couvre la demande en matière de recherche émanant des universités algériennes.
Pour rappel, le CREAD est un établissement public à caractère scientifique et technique (EPST), créé en 1975.
2010-03-26
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