Partager votre expérience du travail, chefs d'entreprise, investisseurs en Algérie. Le marché du travail, les conditions légales d’emploi et les particularités locales propres en Algérie. Vous avez de bons conseils à donner.
14-07-2010
Elias oussalah
Elias oussalah, patron de la société Gate Consultants (basée à Shanghai)
« Le marché algérien est aussi intéressant que celui de Chine où je suis basé actuellement. C’est pour cette raison que je souhaiterais ouvrir une filiale de mon entreprise en Algérie »...
04-07-2010
Karim de montreal,
J’ai émigré au Canada il y a 25 ans et j’ai travaillé, a Montréal, dans la restauration pour 20 ans j’ai économisé un peu d’argent et j’ai construit une maison a Chevalley, aujourd’hui je fais mon déménagement pour m’installer définitivement en Algérie et ouvrir mo...
lire la suite ...01-07-2010
Assia de Toronto
J’ai immigré au Canada il y a 9 ans, j’ai obtenu mon magister de l’université d’Alger. Je travaille au Canada dans l’enseignement du français aux Adultes qui occupent des postes importants. Ce contact me permet d’apprendre chaque jour avec eux.
Aujourd’hui en combinant ...
12-05-2010
Lamine, architecte établi en Belgique.
« Là où je suis, il faut que je fasse deux fois plus d’efforts que les autres pour arracher ma place, même si ça me revient de droit. A niveau égal, la préférence est souvent nationale. Aujourd’hui, je n’ai aucune idée de ce que je vais faire, je vis au jour le jour. Je...
lire la suite ...11-05-2010
Nacer, étudiant en médecine, revenu depuis deux ans de paris.
« Tout a commencé par un désir de changement, et pas n’importe lequel, celui qui est convoité par tant de gens, tant de concitoyens, tant d’étrangers aussi. J’avais la chance de pouvoir en profiter, alors j’ai sauté sur l’occasion pour rallier la France. A la base je s...
lire la suite ...19-07-2010
Adila Rebib
« Après avoir fait une carrière dans le domaine de l’audiovisuel à l’étranger, j’ai décidé de revenir en Algérie car quelle que soit la réussite que l'on a à l'extérieur du pays, celle que l'on peut avoir chez soi a un autre goût. Il existe aussi des opportunités intéressantes dans le domaine de l'audiovisuel en Algérie" ... lire la suite ...
Elias oussalah, patron de la société Gate Consultants (basée à Shanghai)
« Le marché algérien est aussi intéressant que celui de Chine où je suis basé actuellement. C’est pour cette raison que je souhaiterais ouvrir une filiale de mon entreprise en Algérie »
J’ai émigré au Canada il y a 25 ans et j’ai travaillé, a Montréal, dans la restauration pour 20 ans j’ai économisé un peu d’argent et j’ai construit une maison a Chevalley, aujourd’hui je fais mon déménagement pour m’installer définitivement en Algérie et ouvrir mon restaurant, j’ai acquis un certain savoir faire qui me permettra de réussir. La restauration est un très bon créneau. Je veux réussir à avoir mon propre business quelque chose que je n’ai jamais pu avoir a Montréal et aussi vivre avec ma famille mes amis d’enfance.
J’ai immigré au Canada il y a 9 ans, j’ai obtenu mon magister de l’université d’Alger. Je travaille au Canada dans l’enseignement du français aux Adultes qui occupent des postes importants. Ce contact me permet d’apprendre chaque jour avec eux.
Aujourd’hui en combinant mes connaissances et mon expérience acquise en Algérie et au Canada j’ai décidé d’investir en Algérie et mettre mes compétences a la disposition de mon pays et de contribuer a son développement en réussissant dans le monde des affaires du moment que l’Algérie recèle de grands potentiels dans différents domaines.
Aujourd’hui avec la collaboration de mon associe installé en France et de notre équipe installée en Algérie nous travaillons très fort afin d’informer tous les algériens du potentiel économique algérien.
« Là où je suis, il faut que je fasse deux fois plus d’efforts que les autres pour arracher ma place, même si ça me revient de droit. A niveau égal, la préférence est souvent nationale. Aujourd’hui, je n’ai aucune idée de ce que je vais faire, je vis au jour le jour. Je prendrai une décision le moment venu. Ce qui est sûr, c’est que rien pour le moment ne retient mon attention au point de penser faire ma vie ici en Belgique. A la fin de mon cursus, je pèserai le pour et le contre, mais sauf retournement de situation, je ferai des plans de villas à Hydra et Draria d’ici deux année. Ici, j’ai appris comme jamais. Non seulement je me suis perfectionné dans mon domaine, j’ai acquis d’autres compétences, mais j’ai surtout appris à travailler. Toute une compétence que je n’aurais jamais soupçonné si j’étais resté en Algérie. Une gestion manageriale, une organisation et des façons de faire dont notre pays ne peut plus se passer. C’est en Belgique, que j’ai compris le casse tête de la fuite des cerveaux. Ce ne sont pas des paroles en l’air. la plupart de mes enseignants à Alger ont eu le même parcours que moi. On ne peut pas rompre la chaine. »
« Tout a commencé par un désir de changement, et pas n’importe lequel, celui qui est convoité par tant de gens, tant de concitoyens, tant d’étrangers aussi. J’avais la chance de pouvoir en profiter, alors j’ai sauté sur l’occasion pour rallier la France. A la base je suis étudiant en médecine, et quoi de mieux que de faire mes études en Europe, dans un endroit où il y a sûrement plus de moyens, et où je serai mieux considéré. C’était aussi à cause des mentalités et des mœurs que je voulais partir, je voulais voir autres chose, et avoir d’autres expériences. En tout cas, c’était en ces temps là, encore mes objectifs. Mais après quelque temps passé de l’autre côté de la méditerranée, c’était plus la même chose. Pourtant, j’étais très bien pris en charge, considéré, bien entouré, mais, il y avait quelque chose qui me manquait. Dans une grande ville comme Paris, j’avais l’impression de faire partie d’un décor. Ça parait bête à dire, mais c’est le cas. J’aurai toujours en mémoire, les sorties de métro. En un laps de temps record, on fait face à une foule immense, surtout en heure de pointe. Une horde de gens pressés, désintéressés de leur environnement proche et aveugles à ce qui les entourent. Je m’y suis fais bousculé deux ou trois fois, et ça me donnait l’impression d’être invisible. Le mal du pays, on l’a tout le temps. Même si vu du bled , ça parait être de l’enfantillage. Voir un comportement d’enfant gâté. Ici, à Alger, je me sens utile, du moins j’en ai l’impression, même si ce n’est pas le cas, je le suis au moins à mon échelle, à ma manière. Je suis passé d’un statut de figurant à un statut d’acteur, depuis que je suis revenu, d’ailleurs je ne pense plus à partir, du tout. »